Schreibmentoring gegen Schreibblockaden

Wie sich Studierende an der Universität Wien gegenseitig vor Blockaden beim Schreiben von Arbeiten retten

Ein Stift – ein Blatt Papier. Oder öfter – eine Tastatur und ein Textbearbeitungsprogramm. Mehr braucht es nicht, um zu schreiben. Aber was tun, wenn die Wörter nicht von selbst das leere Blatt füllen?
Studierende müssen vor dem Studienabschluss mindestens eine wissenschaftliche Arbeit verfassen. Allerdings fühlen sich viele bei der Aufgabe allein gelassen. Und manch ein Abschluss scheitert letztlich an einer Schreibblockade.
Seit bald zehn Jahren hilft das Schreibmentoring-Programm der Universität Wien mit Pannenhilfe sowie allgemeinem Wissen über Schreibtechniken. Das Besondere – die Schreibgruppen werden von Mentorinnen und Mentoren geleitet, die selbst Studierende sind.

Heute ist mein Beitrag auf Ö1 gesendet worden – noch 7 Tage online: oe1.orf.at/programm/20230116/705910/Schreibmentoring-gegen-Schreibblockaden

hoppala.: Im Gegensatz zu dem, was im Beitrag zu hören ist, werden nicht 50 Studierende im Schreibmentoring betreut, sondern ca. 600!

Der Geschmack meiner Heimat

Meine letzte Sendung ist bis kommenden Freitag noch online: oe1.orf.at/player/20221230/702829

Welches Essen Ausländer:innen in Österreich besonders vermissen

Foto: Das ist für einen meiner Interviewpartner DER Geschmack seiner Heimat…

Wie schmeckt Heimat? Nach einer bestimmten Brotsorte, nach gebratenem Fleisch, nach nicht homogenisierter Milch? Nach Koriander oder hauptsächlich scharf? Wer aus Gambia, Estland, Syrien oder der Schweiz kommt, wird anders antworten als eine Österreicherin. Semmelbrösel, ein wenig Senf, eine Prise Sumak – die kleinsten Sachen helfen gegen Heimweh, vorausgesetzt sie sind in der Vorratskammer vorhanden.

Ausländerinnen und Ausländer erzählen, welches Essen sie in ihrem neuen Land besonders vermissen. Und ob der Geschmack aus der alten Heimat sich leicht in der neuen wiederfinden lässt.

L’«esclave galérien» de Kurz passe aux aveux

Calomniateur désaxé ou fidèle trahi par son idole ? L’ancien haut fonctionnaire Thomas Schmid, entièrement dévoué à Sebastian Kurz, chancelier entre 2017 et 2021, qu’il bombardait de textos, doit comparaître jeudi devant une commission d’enquête parlementaire, après avoir coopéré avec le Parquet anticorruption.

«Je ne suis jamais allé aussi loin que là où nous allons maintenant.» Ou encore, adressé directement à l’intéressé : «Je l’aime, mon chancelier.» Une bonne partie de l’Autriche est aujourd’hui en mesure de réciter par cœur les SMS de Thomas Schmid, échangés via messagerie instantanée avec le chancelier d’alors, Sebastian Kurz, ainsi que plusieurs de ses proches. L’ancien haut fonctionnaire était pourtant un homme de l’ombre, avant que la révélation de ces messages vienne braquer le projecteur médiatique sur sa personnalité.

Jeudi, le juriste de 47 ans doit comparaître devant une commission d’enquête parlementaire du Nationalrat, la Chambre basse du pouvoir autrichien. Les députés cherchent en effet à débrouiller les fils d’un tissu d’affaires de corruption révélées dans le sillage du scandale dit d’Ibiza, qui conduisit à la chute du premier gouvernement Kurz en mai 2019. Au cœur du dossier : les messages de Thomas Schmid. Ils dominent la vie politique de la république alpine depuis plus d’un an et demi. Mais leur auteur, lui, brillait jusqu’à présent par son absence.

Comment les textos de Thomas Schmid se sont-ils retrouvés dans les journaux ? … La réponse dans mon article paru hier dans Libération et sur le site du journal.

Un lac à sec, l’IVG en danger et l’enjeu de la formation pour la réindustrialisation de l’Europe

J’ai beaucoup parlé de l’Autriche ces dernières semaines dans Accents d’Europe.

À l’est, le niveau du beau lac Neusiedler See baisse, encore et toujours. Disparaîtra-t-il dans les années à venir ? On s’en inquiète. Mes explications sur le site de RFI (cela commence vers 9:40).

À l’ouest, les femmes du montagneux et conservateur Vorarlberg s’inquiètent aussi. Il n’y a qu’un seul gynécologue dans leur land pratiquant les avortements et il est sur le point de partir à la retraite… Pour réécouter son histoire, c’est ici (vers 5:15).

Chiara Egarter, 20 ans, en formation ultra-technique à l’usine Infineon de Villach, en Autriche, ne voit pas pourquoi elle devrait se cantonner à un métier typiquement « féminin ».

Dans le sud, je suis allée visiter une usine de puces électroniques (photo) ! Il y a un an, lors de son ouverture, elle était saluée comme un exemple de réindustrialisation par le chancelier d’alors, Sebastian Kurz. L’Europe dispose d’un atout de poids pour attirer l’industrie : la main-d’œuvre qualifiée. Mais en trouvera-t-on encore suffisamment demain ? C’est un enjeu majeur pour l’économie et la société et c’est ici (6:05) pour écouter.

Enfin, partout dans le pays – et dans le monde ! -, le problème des déchets plastiques, dont le nombre a explosé avec la pandémie de Covid-19. Ce reportage a été diffusé pour la première fois le 11 octobre (9:45).

Wenn Kranksein Müll macht

Gefährlich. Umweltschädlich. Unvermeidlich. Problemfeld: Medizinabfall

Der gefährliche medizinische Abfall wird in schwarzen bruchfesten Gebinden gesammelt. Was dann genau damit passiert, haben Ö1-ZuhörerInnen heute in der Sendung « Moment » erfahren.

Der Herbst ist da. Der kalte Wind weht Laub über die Straßen. Und seit drei Jahren verweht er zudem sorglos entsorgte Mund-Nasen-Schutz-Masken. Sie sind der sichtbare Teil des „Corona-Mülls“. Vor allem in Arztordinationen, Labors und Spitälern häufen sich verbrauchte Tests, Einwegschutzausrüstungen und Verpackungen. Aber ist das Problem akut oder doch vielleicht eher chronisch? Aufgrund der Infektionsgefahr ist seit jeher der Spielraum für Abfallvermeidung oder Recyceln in der Medizin gering.

Wie der medizinische Abfall entsorgt wird. Wie Einrichtungen und Personal mit den großen Mengen umgehen. Und wie schwer der Umweltgedanke wiegt, wenn es auch um Patientensicherheit geht.

Darum ging es heute in meiner Sendung für die Ö1-Reihe « Moment ». Hier der Link, um sie nachzuhören (sie bleibt eine Woche online): oe1.orf.at/player/20220927/691811/1664285403228

Für die Sendung habe ich mit Alexander Kirchner die Anlage « Simmeringer Haide » in Wien besichtigt. Spitäler, Labors und Arztpraxen aus ganz Österreich liefern ihren gefährlichen Müll hierher.